C H O Q U E Q U I R A O

3ème Jour - 2 mai 2006

Arrivée sur le site

Troisième jour de marche...

Campement au matin    Campement au matin

Campement au matin

Campement au matin


La descente des deux premiers jours...

La descente des deux premiers jours...

Apurimac

Eau...    pas toujours potable

Recherche d'eau... pas toujours potable

mais il fait chaud    vue sur l'arrière du parcours

Pause méritée    GG

GG    

Chemin jusqu'à Choquequirao

Chemin du camp de base jusqu'aux ruines de Choquequirao...
Spectaculaire et distante, solitaire et oubliée, Choquequirao (3 085 mètres d'altitude), s'érige à la cime d'une montagne inexpugnable de la province de La Convencion, département de Cusco, ce qui la convertit, pour plus de 40 ans, en ultime bastion de résistance des fils du Soleil, qui trouvèrent refuge entre ses murs de pierre, après la défaite de Manco Inca, l'inca rebel.


Camp de base    Camp de base

Du camp de base aux ruines de Choquequirao...En 1834, Eugene de Sartiges, de nationalité française, trouve les vestiges de Choquequirao. 67 ans plus tard, ce sera au tour de l'américain Hiram Bingham de "passer par là" mais Bingham n'y trouve pas ce qu'il cherche, ce doit être ailleurs, plus loin. Il redécouvrira alors le site de Machu Picchu qui le rendra à jamais célèbre.

Première vision de Choquequirao...

Terrasses au niveau des ruines du bas

De par ses palais et temples à deux niveaux, ses systèmes de fontaines, de canaux et d'aqueducs, ainsi que ses admirables terrasses " tapissées " d'une végétation profuse, Choquequirao fut construite, probablement, sous le gouvernement de l'inca Pachacutec (15ème siècle), et peut uniquement se comparer à Machu Picchu, le monument archéologique le plus visité du Pérou.

Terrasses au niveau des ruines du bas

Terrasses au niveau des ruines du bas...

Terrasses au niveau des ruines du bas


Nicolas et Nicolas





Les constructions ne donnent pas l'impression d'avoir été construite à la hâte, ni comme une forteresse imprenable. Alors sont-elles vraiment un des derniers refuges des incas fuyant les Espagnols ?...

    

Autour de la place principale se trouve le plus grand de ses temples ainsi que les habitations des gouverneurs. Les chercheurs soutiennent que le complexe aurait été un important centre religieux, politique et économique, en plus d'un lien commercial et culturel entre la côte, la montagne et la forêt. Mais la vraie magnificence de Choquequirao (du quechua chuqui k'iraw, berceau d'or), est encore à découvrir. Seulement 30% des 1 810 hectares du complexe furent "sauvés" des buissons de végétations qui durant des années, pour ne pas dire des siècles, ont recouvert cet authentique joyau inca.

    

Les paysages sont certes d'une beauté impressionnante et la qualité des constructions et habitations ne font pas penser à des habitations pour soudards, mais bien pour gens aisés ou d'une haute position dans la hierarchie. Et les nombreuses niches ou fenêtres aveugles, généralement destinées aux idoles, à un lieux de culte.

    

GG au sommet de Choquequirao

Le groupe au sommet de Choquequirao



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Dernière Mise à jour le 24 juillet 2006.


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